L’amour des deux chaises
Elizabeth LC.
Il existe un opéra de Prokofiev intitulé L’amour des trois oranges, mais ici c’est de deux chaises qu’il s’agit, deux simples chaises de bois peintes en blanc. Je les ai rencontrées sur le palier d’une collègue (de l’APA) et j’ai été frappée par leur étroit enlacement. Comme elles se serrent l’une contre l’autre ! Il est évident qu’elles sont inséparables. Quelqu’un oserait-il les détacher pour s’en servir ? Je n’ose pas y croire. Non, elles sont là pour l’éternité, pour nous dire que contre vents et marées, l’amour existe et continue de nous porter.
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Wikipédia | L’Amour des trois oranges